"1861. Pour quelques semaines, Metz s'apprête à devenir la capitale du monde en accueillant la quatrième Exposition universelle. Caroline et Stéphanie Pons, propriétaires d'une confiserie place Saint-Louis, espèrent y briller avec une friandise destinée à concurrencer la bergamote nancéïenne, la citronnelle.

Mais des femmes disparaissent, toutes liées à cet événement, retrouvées une semaine plus tard, mortes de déshydratation. Quelqu'un aurait-il intérêt à saboter l'Exposition? Ou l'assassin poursuit-il un tout autre dessein? Et pourquoi les victimes sont-elles revêtues d'une robe qui ne leur appartient pas? Conduite par l'aristocratique inspecteur Maxime d'Harcourt, l'enquête piétine.

Lorsqu'une quatrième femme disparaît, les minutes, dès lors, sont comptées. Les langues vont se délier, les masques tomber et les secrets se révéler, jusqu'à l'époustouflant coup de théâtre final - mais à quel prix?"

 

Après les élixirs messins, l'assassin de l'Exposition universelle est le deuxième roman historico-culinaire qui rend hommage aux grands événements messins, en l'occurrence injustement oublié, et à l'origine des célèbres régates actuelles. Le lecteur se promènera ainsi des différents pavillons érigés place Royale, ancienne, place de la République, avec tout un éventail de recettes sucrées et de confiseries.